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Il en viendra beaucoup des trouveurs d’aventure,
En galop tout poudreux, des roses plein les mains,
Mais l’un, un soir, dénouera votre chevelure
Et vous crierez : C’est toi !…C’est toi jusqu’à demain.
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Car lendemain viendront des chevaucheurs encore
Moustachus et câlins ou brutaux à souhait
Qui, joie ! seront vainqueurs, Ma joie ! vainqueurs encore
Par la caresse lente ou même à coups de fouet.
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Et peut-être sera-ce alors temps de tristesse,
Quand vos ongles tachés de blanc déchireront
Votre chair ; quand le coeur trop plein de « quand était-ce »
Vous pleurerez fronçant les plis de votre front.
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Intercalées dans l’an viendront les journées veuves,
Les vendredis sanglants et lents d’enterrements,
Des blancs et de tout noirs vaincus de cieux qui pleuvent
Quand la femme du diable a battu son amant.
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Cependant, grâce à vous, merci ! ma dessilleuse !
J’ai bien compris que seuls pouvaient vivre en m’aimant
Dans l’ombre originelle ou mon repos se creuse
Les bons vers immortels qui s’ennuient patiemment.
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Guillaume Apollinaire
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bonjour Annie
je viens te souhaité une bon dimanche plein de soleil
jolie texte
gros bisou
Amicalement Amiral
Dernière publication sur Un univers d'évasion ...! : Le retour d'Amiral2020
Bonsoir Annie,
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Pas toujours facile de sonder le sens de ses poèmes, je lis plusieurs fois à chaque fois
Bonne nuit et A+
Amicalement, bisous
Tritriva